Le 2 avril 2023, le parc public de la ville de Petah Tikva, en Israël, a été nommé en l’honneur de Charles Aznavour. La stèle commémorative est placée devant le mémorial du Génocide Arménien.
La cérémonie s’est déroulée en présence du maire de Petah Tikva - Rami Greenberg, de l'ambassadeur d'Arménie en Israël Arman Akopian, du représentant de l'ambassade de France en Israël Thierry Peltreau, ainsi que de nombreux autres invités, personnalités publiques et membres de la communauté arménienne.
L'idée de la stèle appartient à David Galfayan qui est l'auteur du Mémorial du Génocide Arménien mentionné ci-dessus.
En 2017, la Fondation internationale Raoul Wallenberg (IRWF) a décerné la «Médaille Raoul Wallenberg» à Charles et Aïda Aznavour. Ce prix prestigieux est un gage de reconnaissance pour la famille Aznavour, la mère Knar, le père Mischa et leurs enfants susmentionnés, qui, pendant les jours sombres de l'occupation nazie en France, ont tendu la main aux personnes persécutées par les nazis.
La cérémonie s’est déroulée en présence du maire de Petah Tikva - Rami Greenberg, de l'ambassadeur d'Arménie en Israël Arman Akopian, du représentant de l'ambassade de France en Israël Thierry Peltreau, ainsi que de nombreux autres invités, personnalités publiques et membres de la communauté arménienne.
L'idée de la stèle appartient à David Galfayan qui est l'auteur du Mémorial du Génocide Arménien mentionné ci-dessus.
En 2017, la Fondation internationale Raoul Wallenberg (IRWF) a décerné la «Médaille Raoul Wallenberg» à Charles et Aïda Aznavour. Ce prix prestigieux est un gage de reconnaissance pour la famille Aznavour, la mère Knar, le père Mischa et leurs enfants susmentionnés, qui, pendant les jours sombres de l'occupation nazie en France, ont tendu la main aux personnes persécutées par les nazis.
« Nous avons grandi ensemble dans le quartier des Marais, un quartier parisien où de nombreux immigrants, y compris des réfugiés juifs et arméniens, vivaient côte à côte. Ils étaient nos voisins et amis... Lorsque l'armée nazie a commencé à arrêter des Juifs, notre maison est devenue un refuge pour eux. Mes parents savaient que le danger était présent au quotidien, mais ma sœur et moi-même ne l’avons réalisé que plus tard. Nous étions des jeunes gens un peu fous. Nous vivions notre adolescence pleinement et nous suivions les traces de nos parents. Ce ne fut qu’après la guerre que nous avons pris pleinement conscience de l’ampleur du risque encouru »
se souvenait Charles Aznavour.
